Bourses de recherche

De nouveaux laboratoires et équipements financés par le Fonds d’innovation de la FCI aideront six projets de recherche transformateurs de McGill à collaborer, à innover et à former la prochaine génération de scientifiques pour les emplois de demain.

Aujourd’hui, à l’Université de Montréal, le ministre des Transports, Marc Garneau, au nom de la ministre des Sciences, Kirsty Duncan, a annoncé un investissement de 67 millions de dollars dans le cadre du Fonds d’innovation de la FCI pour soutenir l’infrastructure de recherche au Québec, dont plus de 31 millions de dollars pour McGill. Ce financement fait partie des plus de 554 millions de dollars annoncés par la ministre Duncan en octobre 2017.

La ministre de l’Enseignement supérieur du Québec, Hélène David, s’est engagée à verser des fonds de contrepartie pour les projets québécois. Avec la généreuse contribution des partenaires industriels, la valeur totale de ces bourses d’infrastructure à McGill s’élève à 59 millions de dollars.

Les projets de McGill, dont le Biomedical Research and Informatics Living Lab for Innovative Advances of New Technologies (BRILLIANT) dans le domaine de la mobilité, utiliseront les fonds pour acheter de nouveaux équipements et installations de pointe afin d’accélérer la recherche. BRILLIANT, dirigé par la professeure Sara Ahmed de l’École d’ergothérapie et de physiothérapie, est une initiative de collaboration entre des chercheurs de McGill et de l’Université de Montréal qui vise à améliorer la mobilité des personnes atteintes d’une lésion cérébrale acquise (LCA), par exemple à la suite d’un accident vasculaire cérébral ou d’une infirmité motrice cérébrale.

Les professeurs Timothy Geary (Département de parasitologie), Anja Geitmann (Faculté des sciences de l’agriculture et de l’environnement), Subhasis Ghoshal (Département de génie civil), John Gyakum (Département des sciences atmosphériques et océaniques) et le Dr Abbas F. Sadikot (Institut et hôpital neurologiques de Montréal) ont chacun reçu un financement dans le cadre de ce cycle. En collaborant avec d’autres disciplines, ces chercheurs s’attaqueront à un ensemble varié de problèmes, notamment l’exploration des interactions des parasites avec leur environnement, l’étude intensive de l’écosystème de la vallée du fleuve Saint-Laurent, le développement de nouvelles techniques de neurochirurgie guidée par l’image et l’amélioration de la durabilité d’une nouvelle classe de substances physiques appelées nanomatériaux.

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